Que dans l'espace de racontage...la fleur s'ouvre
Toi qui racontes et toi qui écoutes,
dis-moi ce que tu penses, ce que tu désires, ce que tu veux échanger.
Nous n'aurons pas la voix, ni le regard dans un premier temps,
mais plus tard peut-être ?
"La voix est à la parole ce que le regard est au visage"
(pour agrandir les photos, cliquez dessus !)
Le conte n'est qu'affaire de rencontres. Pour moi il y en a eu des centaines.
Des gens qui me disent : "vous m'avez fait du bien !".
Des détenus en prison qui, après ma première histoire, me disent :
"écoute ! Je vais te dire pourquoi je suis là !". Des larmes, des rires déclenchés
sans qu'on sache ni pourquoi, ni comment. Un jeune garçon de
la Rose à Marseille, qui à la fin d'un conte s'écrit :
"Ha ! Zarma !", et puis cette chaleur partagée, inégalable.
Et surtout, au départ, Emilie Carles, la douce, la rebelle
et Henri Gougaud le généreux.
Les deux sans qui je n'aurais jamais connu le bonheur de la parole partagée !
Je conte seul, mais je peux être accompagné d'une chanteuse et d'un musicien !
J'ai été profondément marqué par le Festival du Conte à
Pointe-Noire (Congo) où j'ai été invité, et j'espère renouveler cette
magnifique expérience, dans d'autres régions, d'autres pays !
Alors, à vos téléphones !